Laura Mazeaud

Après avoir suivi le cursus littéraire Hypokhâgne/Khâgne, Laura se forme à Paris en danse contemporaine auprès de Corinne Lanselle, Béa Buffin ou encore Julien Desplantez. Passionnée par la pluridisciplinarité, elle suit des cours de hip-hop, pop et house à la Juste Debout School, se forme au jeu d’acteur et au chant au conservatoire à Paris. 

En tant qu’interprète, Laura a travaillé notamment en Angleterre avec Jasmin Vardimon au sein de la compagnie de physical theater JV2. Là-bas, elle danse également pour Paul Blackman et Christine Gouzelis et la chorégraphe Marilena Dara et part en tournée nationale avec les pièces Tomorow, Vohlfs et Wear Your Wounds. En 2017, elle est engagée par Tomos Young (ex-danseur de la Stopgap Dance Company) dans la compagnie de danse inclusive InterDanse pour la pièce #onesttoutslashrien. L’année suivante, elle rejoint la troupe de La Nébuleuse d’Hima en tant que danseuse et comédienne, c’est à ce moment-là qu’elle rencontre Faustine Berardo, à la tête du groupe. En 2021, elle intègre la compagnie de physical theater, Glaza, pour une adaptation de la pièce d’Anton Tchekov Les trois sœurs, mise en scène et chorégraphiée par Polina Rebel. 

En tant que chorégraphe, Laura créé sa première pièce en 2012, Ubuntu, un duo mêlant danse contemporaine et krump. En 2018, elle créé la version courte de Surfaces Sensibles. Laura est aussi engagée en tant que chorégraphe par la production de la série SKAM (France 4). En 2019, elle chorégraphie pour la vidéo Cranes in the sky, le projet qui donnera naissance à la compagnie ELLAYA. L’année suivante, elle chorégraphie au sein d’ELLAYA le film dansé Office sur le thème du burnout. En 2023, elle crée Tribulations de jeunes filles (dé)rangées, sa première pièce subventionnée et co-produite par le CCN de Créteil et du Val-de-Marne. La même année, elle chorégraphie la partie dansée du seule-en-scène de Marie-Claire Neveu mis en scène par Tatiana Goussef : « Hépatik Girl » ainsi que le clip de Faustine Do « Graveuse de maux ». 

Crédit photo : Lisa Lesourd

Judith Arazi

Après des études littéraires et de cinéma, Judith décide de se consacrer pleinement à la danse. En tant qu'interprète, elle a travaillé pour Natalia Vallebona au sein de la compagnie Poetic Punkers, pour le metteur en scène Roméo Castellucci, le chorégraphe américain Jeremy Nedd, la compagnie Hybride avec Lionel Hun, la compagnie de rue Remue-Ménage... Elle a aussi dansé dans des vidéoclips pour la promotion d'artistes tels que Madame Monsieur, Oren Lavie et Vanessa Paradis, Vianney... 

Ses divers projets témoignent des deux passions qui la partagent :  les images et les arts vivants, que ce soit dans la danse-théâtre, pour la promotion vidéo de danseurs ou de créations chorégraphiques, la photographie, ou encore dans le court-métrage.

 
Crédit photo : Kriss Logan

Sanni Laine

D’origine finlandaise, Sanni Laine s’est formée en hip hop, popping, locking, house et break dance à Paris à la Juste Debout School puis à Åsa folkhogskola à Skoldinge en Suède. Elle suit également le cursus de danse contemporaine à Riveria Outokumpu en Finland. 

En 2021, Sanni danse dans le film expérimental « To Be Touched », récompensé plusieurs fois en festival. 

En 2022, elle créé le solo « Takaraja » sur le thème du temps et des limites que l’on s’imposent, assistée de Katja Mustonen. La même année, elle danse pour Wilhelmiina Ojanen dans « Matters Of Care (or everything we do) », une pièce de danse communautaire. 

Sanni est aussi présidente de Sade ry, une organisation nationale en Finlande qui promeut et soutient le réseau des danses de rue. Elle travaille également dans l'association finlandaise pour la conservation de la nature (AFCN). 

Sanni aime penser qu’avec l’art nous influençons notre bien-être. Nous pouvons rendre les choses visibles par l’art, accroître notre imagination et notre vision du monde, ou simplement être.

Crédit photo : Emmi Simonen

Johany Berland

Johany est un compositeur et musicien multi-instrumentiste spécialisé en musique à l’image. Son style hybride, fusion entre musique orchestrale et sonorités électroniques, lui a permis de participer à des projets divers, du court-métrage au jeu vidéo, en passant par la musique de publicité et d’émissions de télévision.

Autodidacte et curieux de tous les moyens d’expression artistique, il s’attache à aborder la musique de façon instinctive. Ses diverses influences lui permettent d’explorer sans cesse de nouveaux styles et de proposer une musique narrative, souvent cinématographique.

Archibald Roulleau-Thery

Archibald Roulleau-Thery grandit entouré de musique, ayant été bercé dès sa naissance par sa famille de musiciens. Après avoir passé une dizaine d’années en conservatoire à étudier la contrebasse, il intègre la licence Musique et Métiers du Son de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée. À travers de nombreux projets associatifs, il s’initie à la régie lumière pour divers spectacles amateurs. Il décide alors de rejoindre la formation Régisseur Lumière du CFA-SVA/CFPTS. Il passe les deux années suivantes à travailler en alternance au Carreau du Temple, où il participe à l’éclairage de nombreux spectacles, principalement de danse contemporaine, mais également de théâtre, de concerts ou de conférences. En parallèle, il intervient sur d’autres événements en dehors du Carreau du Temple afin d’enrichir et diversifier son expérience. Il réalise notamment l’éclairage de plusieurs vidéoclips musicaux, notamment pour Louis Lingg and the Bombs ou Aileen Merlinn. 

Son parcours entre musique et lumière permet une approche particulière aux projets et aux spectacles.